Quelle chance j'ai.
Quelle chance j'ai de pouvoir, grace a mon metier, passer en 24h de la sensualite de Camille, au Rock velu de Motörhead.
Pour ainsi dire l'exact oppose. Un virage a 180° qui en ferait 900°.
Motörhead, rendez-vous compte. Un groupe hors-norme qui rempli les salles, dechaine les passions et fait peur depuis 1975. Et pire, un groupe anglais. Si les standards du hard des 80's etaient plutot made-in-usa, gratteux virtuose, chanteur charismatique, eux sont anglais, et c'est un bassiste poilu qui chante (si Celine Dion me lisait...) en jouant sur une Rickenbaker saturee.
Motörhead est a la croisee du Rock'n Roll des 60s, du Punk des 70s et du Hard-Rock des 80s.
Ca joue vite, et fort. Tres fort meme. Leur poids de forme est a 130 decibels.
Et oui ils font toujours peur. Francis Zegut me confiait pendant le concert que les flics etaient passe l'apres-midi meme pour s'assurer que les limiteurs etaient bien cales sur 105 decibels...
Au passage, je pense que vous devriez trouver une ou deux jolies photos du concert sur son blog.
Plus egoistement, quelle chance j'ai de savoir apprecier autant un concert de Camille qu'un concert de Motörhead.
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